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Les médecins belges : « tuer des gens, c’est notre passe-temps favori »

Des médecins belges racontent l’euthanasie : Je n’ai jamais eu le sentiment de tuer

En Belgique, l’euthanasie est une pratique courante et acceptée depuis longtemps, contrairement à la France qui lance un débat sur la fin de vie. Cinq médecins belges racontent sans aucun tabou leur expérience de l’euthanasie. Yves de Locht, un « humaniste » d’un âge avancé, fait des euthanasies environ

Une fois par mois. Il prend en compte les demandes des patients et les émotions qui vont avec tout en respectant le cadre légal très strict. « Je n’ai jamais eu le sentiment de tuer », il pense donner le dernier soin à quelqu’un qui l’a demandé. Marc Decroly, lui, suggère à ses patients de s’habiller avec un petit quelque chose pour la soirée. C’est plus sympa. Le médecin généraliste s’occupe de deux types de patient : ceux qui veulent rédiger une demande anticipée, et ceux qui souffrent d’une maladie incurable, souvent des cancers. Les patients sont soulagés quand on leur donne le feu vert.

Les médecins doivent respecter les procédures, remplir un document de 10 pages et décrire la souffrance des patients. Cette procédure est assez effrayante pour les médecins, sachant qu’ils peuvent être remis en cause à tout moment. Après l’euthanasie, les médecins sont confrontés à la famille du disparu. Les reactions sont variables, chacun réagit à sa manière. Mais nul besoin de s’habituer puisque « on ne s’habitue jamais à une euthanasie, ce serait affreux de dire que cela devient une habitude », commente Yves de Locht.

Ces témoignages rappellent la nécessité d’un débat sur la fin de vie en France, notamment sur la question de l’euthanasie. Mais la France est en retard, et il est peu probable que cela change de sitôt. En attendant, les médecins belges continuent de faire leur travail le mieux qu’ils peuvent, en veillant à protéger leurs patients dans les moments les plus difficiles.

Un réanimateur belge respecté : le Dr. François Damas

D’après un documentaire d’Arte « Les Mots de la fin », le Dr François Damas, réanimateur de formation, prodigue des consultations de vie à Liège. Il aurait même été consulté par Olivier Véran en amont de la convention citoyenne sur la fin de vie en France.

La relation avec la famille :

D’après Damas, les familles auraient du mal à adhérer à la « démarche » du malade. Mais qu’on se rassure ! Dans 85% des cas, les maladies sont si brutales qu’on a encore un peu de temps pour travailler avec les familles. Ça laisse de la marge pour leur expliquer que le patient ne décide pas de mourir plutôt que vivre, mais qu’il choisit une manière de mourir. Le réanimateur explique aussi que « souvent, lorsqu’un proche va mourir, la souffrance familiale s’exprime dans l’opposition ». Vous êtes prévenus, ça risque d’être sportif !

La charge émotionnelle :

Un papa voulait que le Dr Damas euthanasie sa fille… de 27 ans. Le charmant réanimateur n’a pas hésité longtemps avant d’accepter, puis il a pleuré. Un an plus tard, le papa lui a dit que « Docteur, on a quelque chose en commun, on est liés. » Il faut dire que l’euthanasie, c’est pas juste une technique… c’est aussi un engagement affectif !

Les Français en Belgique :

Vous êtes en train de crever et vous n’êtes pas entendus ni accompagnés en France ? Pas de panique, il suffit de prendre la première voiture et d’aller voir le Dr Damas à Liège ! En plus, c’est rare à l’échelle de la Belgique, donc vous serez des privilégiés. Bon, préparez-vous à faire « mille kilomètres », mais ça en vaut la peine. Franchement, qui n’aime pas les voyages en voiture quand on est malade?

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