La RATP accusée de non-transparence sur la pollution des particules fines dans le métro parisien
L’association Respire a déposé une plainte contre la RATP pour tromperie et blessures involontaires. En effet, des rapports réalisés en 2019 et 2021 par des scientifiques du CNRS ont révélé que la qualité de l’air dans les stations les moins bien ventilées du métro parisien était supérieure à celle de l’air extérieur. Les particules fines, qui ont un impact sanitaire sur nos organes, sont retrouvées en forte quantité, voire en pic de pollution, dans certaines stations.
Transparence de la RATP
Au lieu de reconnaître les faits, la RATP a nié les mesures de l’association Respire, affirmant que ce n’était pas vrai. Est-ce que c’est vraiment une défense convenable ? On aurait au moins espéré un peu de transparence et des réponses concrètes de leur part.
Risques pour les utilisateurs et les salariés du métro
La littérature scientifique n’est pas suffisante pour démontrer les conséquences de l’exposition de courte durée pour les utilisateurs du métro. Par contre, il y a une étude interne du service de santé de la RATP qui a démontré une hausse des maladies de l’appareil circulatoire chez les salariés qui y passent la journée. Mais ne vous inquiétez pas, tout va bien…
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