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La BRAV-M, les anges gardiens des bistrots ?

Manifestation contre la réforme des retraites : un manifestant victime de la BRAV-M

Valentin, âgé de 19 ans, a témoigné dans Complément d’enquête après avoir été percuté par la Brigade de répression de l’action violente motorisée, également connue sous le nom de BRAV-M. L’étudiant en BTS audiovisuel raconte l’agression qu’il a subie avec un ton aussi dramatique que possible. Lors de la manifestation contre la réforme des retraites dans le quartier de Bastille, Valentin a pris ses jambes à son cou à l’arrivée des motos de la BRAV-M. Un passant a filmé la suite de la scène, qui montre Valentin couché sur le sol, recevant des coups de pied et criant de douleur alors qu’une moto roule sur sa jambe gauche.

La BRAV-M est une unité de police parisienne qui patrouille à moto et qui est accusée de méthodes violentes. Les critiques à l’encontre de la BRAV-M ont poussé à une pétition pour sa dissolution qui a dépassé les 260 000 signatures. Cette pétition a été classée par les députés, mais la controverse autour de la BRAV-M continue. Les journalistes de Complément d’enquête ont été refusés pour leur demande de tournage en vue d’évoquer les méthodes de cette unité auprès des responsables du ministère de l’Intérieur.

Dans une interview accordée à Complément d’enquête, un responsable de la BRAV-M répond aux critiques : « C’est pas juste, par rapport au travail qu’on fait… Tous les bistrots qu’on empêche de cramer, ça, personne ne le voit ». Le responsable continue à dire que beaucoup de gens les remercient pour leur travail. Pourtant, la vidéo de Valentin montre clairement que les méthodes de la BRAV-M sont loin d’être justifiées dans certains cas.

IGPN intervenu dans l’affaire

Dans l’affaire de Valentin, l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN) a été saisie pour enquêter sur les méthodes de la BRAV-M. La vidéo est maintenant largement partagée sur les réseaux sociaux. Cette affaire risque de relancer le débat sur les violences policières et sur l’utilisation excessive de la force de la part des forces de l’ordre.

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