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La France : quand le maintien de l’ordre vire à la guerre totale

La France face à la critique internationale

La France, qui se targuait d’avoir le meilleur système de maintien de l’ordre, est aujourd’hui sous le feu des critiques jusqu’à l’ONU. La nouvelle doctrine mise en place depuis les gilets jaunes est pointée du doigt et chaque opération de maintien de l’ordre soulève son lot de questions sur les dérapages policiers.

Des manifestantes qui font trembler Beauvau

Quatre jeunes Nantaises à peine majeures ont porté plainte contre des policières qui les auraient agressées sexuellement lors d’une fouille. L’affaire est prise très au sérieux par la police des polices, car ces manifestantes sont en train de faire trembler Beauvau.

Violences lors des manifestations

Le mouvement social contre la réforme des retraites est en train de déchirer le pays, et la violence explose. À Sainte-Soline, une bataille lors d’un rassemblement interdit contre les méga-bassines a tourné au drame. Plus de 3000 gendarmes sont intervenus pour arrêter des militants venus pour faire la guerre selon les dires du président, et 47 fonctionnaires ont été touchés. Les manifestants ont dénombré 200 blessés, dont deux plongés dans le coma.

Des accusations de dérapages policiers à répétition

Les forces de l’ordre sont accusées d’avoir utilisé des armes de guerre et retardé l’arrivée des secours. Les interpellations abusives se multiplient comme avec ces deux mineurs autrichiens en voyage scolaire, embarqués par la police. Impossible pour les CRS et les gendarmes d’échapper aux objectifs des téléphones des manifestants, qui filment tout. Pour maintenir l’ordre, tous les moyens semblent acceptables et la question est de savoir comment cette crise est gérée par le gouvernement.

Des journalistes d’investigation qui enquêtent

L’équipe de Complément d’enquête a pu accéder aux témoignages inédits et vidéos exclusives de l’intervention à Sainte-Soline. Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, est invité sur le plateau pour commenter cette crise sans précédent. Pendant ce temps, la rédaction vous invite à commenter l’émission sur Facebook ou sur Twitter avec le hashtag #ComplementDenquete.

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