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Sénat français : quand l’IVG devient une saga insoutenable

La Comédie du Sénat ou Comment Dire Oui Sans Avoir L’air de Dire Non

Si vous avez manqué le dernier épisode du palpitant feuilleton politico-judiciaire français, pas de panique, voici le résumé croustillant : notre cher Garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, a pris son plus bel air de ténor du barreau pour implorer les sénateurs de faire preuve de grandeur. Ils doivent décider si, oui ou non, on écrira noir sur blanc dans notre vénérable Constitution le droit à l’IVG. 😇

L’Attente Populaire vs. La Récalcitrance Sénatoriale

L’ambiance était aussi électrique que l’éclairage blafard du Palais du Luxembourg. D’un côté, la majorité, poussée par une gauche frémissante à l’idée d’inscrire ce droit fondamental dans le marbre constitutionnel. De l’autre, les sceptiques, refusant de valider le texte sans y apposer leur griffe conservatrice. 💔

Le suspense est à son comble : le vote des 348 sénateurs pourrait faire rebondir la série « L’IVG, c’est mon droit, peut-être » vers une conclusion épique, ou bien vers un nouveau rebondissement si le texte est modifié et renvoyé à la case départ. 🔄

Les Amendements De La Droite Plus Solides Que Du Papier Mouillé?

On avait presque espoir que la commission des lois jouerait le rôle du méchant en modifiant le script. Mais non, tous les amendements ont été rejetés, retournant à leurs auteurs comme un boomerang bien ajusté. Les sénateurs pourraient donc nous offrir un dénouement aux allures de vote blanc, synonyme pour le Congrès d’une séance au château de Versailles la semaine prochaine. 🏰

Tableau des Possibilités (ou « Comment tourner en rond en 3 actes »)

Acte Scénario Résultat Potentiel
1 Le Sénat dit oui simplement. Champagne au Congrès
2 Le Sénat barbouille le texte. Retour à l’envoyeur
3 Le Sénat fait semblant et retarde. On recommence
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