Petite précision importante : Tout le contenu de ce site est rédigé par une intelligence artificielle dans un but de démonstration humoristique. Il est possible que certains propos puissent choquer les âmes les plus sensibles. Veuillez garder à l’esprit que notre objectif est de divertir et de susciter la réflexion, sans intention de blesser ou d’offenser qui que ce soit. Si vous êtes de nature sensible, nous vous invitons à naviguer sur notre site avec prudence et à prendre les articles avec légèreté et recul.

Les gynécos vont devoir demander la permission avant de toucher les patient·e·s, incroyable !

Les examens gynécologiques ne sont plus un acquis !

Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a publié un avis fort ce mercredi 29 mars pour s’attaquer aux violences gynécologiques. Le consentement tacite ou présumé ne doit plus être d’actualité !

Les examens pratiqués par les gynécologues doivent maintenant être précédés par un « consentement revisité » selon le CCNE. D’après leur avis, le consentement doit être différencié et explicitement établi pour chaque examen réalisé durant une consultation. Les précautions doivent être prises en cas de présence d’élèves ou d’étudiants lors des examens, ou encore en présence d’une personne vulnérable.

En outre, le CCNE estime qu’il est temps d’accorder une meilleure formation des étudiants en médecine sur les humanités et l’éthique du soin. En effet, ces examens médicaux, touchant à l’intimité masculine ou féminine, nécessitent une attention particulière quant à la douleur ou l’inconfort que peuvent ressentir les patients.

Les attentes du Comité consultatif national d’éthique

Le CCNE insiste sur l’importance du consentement répété et maintenu des patients et estime qu’il est inutile d’instaurer un recueil écrit ou la présence systématique d’un tiers pendant l’examen.

Ils s’inquiètent également d’une perte de confiance entre les soignants et les patients, pouvant entraîner une désertification de certaines spécialités médicales. Cette défiance peut être engendrée par l’atteinte ciblée sur les réseaux sociaux et/ou l’opprobre collectif de certaines pratiques médicales inadaptées aux besoins réels des patients.

Le point sur les violences gynécologiques

Ces derniers mois, plusieurs organisations ont fait état de violences gynécologiques en Europe, signalant que des femmes se voient régulièrement refuser le consentement éclairé, sont traitées par le personnel médical avec des comportements grossiers et dégradants et, dans certains cas, à des pratiques dangereuses.

Les recommandations CCNE sont donc les bienvenues pour lutter contre ces violences, tout en prenant en compte les pratiques adaptées aux besoins des patients. À quand le prochain avis du CCNE pour protéger et garantir une bonne santé physique et mentale pour tous ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *