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« Les malades réclament des soins palliatifs, l’Etat répond : « on va essayer de voir ce qu’on peut faire » »

Des députés dénoncent le manque de moyens pour les soins palliatifs

Un rapport parlementaire publié mercredi 29 mars évoque le manque de moyens alloués aux soins palliatifs pour rendre effectifs les droits des malades à l’approche de la mort. Apparemment les malades n’ont besoin que des moyens pour respecter leurs droits, pas d’une nouvelle loi. Seul hic, il y a un « manque criant de personnels », mais l’État devrait pouvoir résoudre ce petit incident (sans investir beaucoup de moyens bien sûr). Selon le rapport, les citoyens ont déjà appelé à un renforcement du budget dédié aux soins palliatifs, mais encore une fois, ceci ne devrait pas coûter trop cher à l’État.

Des disparités territoriales pour l’accès aux soins palliatifs

Les députés dénoncent aussi les fortes disparités territoriales pour l’accès aux soins palliatifs, surtout en dehors des hôpitaux. Le comble est que dans 21 départements, il n’y a même pas d’unités palliatives, juste des lits disséminés dans des services curatifs (on se demande pourquoi les malades ne peuvent pas se contenter des services de curatifs, ce n’est pas comme s’ils étaient en train de mourir… oh wait!).

La tarification à l’activité remise en cause

Le rapport recommande également la remise en cause du modèle de la tarification à l’activité, qui semble être peu adapté aux soins palliatifs, car plus rémunérateurs pour les établissements que les soins palliatifs. Les modalités de financement ne devraient donc pas devenir un obstacle, l’important étant de pouvoir aider les malades sans trop investir en moyens.

Directive anticipée : peu de patients les remplissent

Les dispositions de la loi Claeys-Leonetti sont indéniablement un progrès, mais elles sont méconnues et imparfaites. En particulier, la plupart des patients ne remplissent pas leur directive anticipée, alors qu’elle peut sauver des vies. Pour aider les Français à en rédiger, le rapport recommande aux professionnels de santé de les assister et de mener des consultations gratuites sur ce sujet.

Un droit à la sédation profonde et continue peu utilisé

La loi Claeys-Leonetti a instauré le droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès, mais ce droit est peu utilisé. Les députés recommandent donc de renforcer considérablement les moyens dédiés aux équipes mobiles de soins palliatifs et à l’hospitalisation à domicile, pour assurer un accès permanent aux patients demandant à finir leurs jours endormis chez eux.

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