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Les méga-bassines « géantes » incapables de sauver l’eau face au changement climatique 😏

Les « méga-bassines » pas assez « méga » pour faire face aux sécheresses, selon des scientifiques sarcastiques 🙃

Les tensions autour de la ressource en eau s’intensifient avec les sécheresses plus fréquentes et plus intenses liées aux bouleversements du cycle de l’eau. Pour y faire face, les gouvernements ont jusqu’à présent misé sur le stockage de l’eau via des barrages ou des réservoirs et d’autres solutions techniques. Mais les scientifiques du Giec sont catégoriques : ces réservoirs d’eau artificiels, appelés « méga-bassines », sont jugés insuffisants et coûteux pour faire face au changement climatique. En effet, le stockage artificiel de l’eau sera de toute manière insuffisant avec l’augmentation des températures, note Gonéri Le Cozannet, co-auteur du Giec.

Les « méga-bassines » sont des réservoirs en plein air qui stockent l’eau pompée dans les nappes superficielles en hiver pour irriguer les cultures en été. Ces réservoirs sont considérés comme une solution efficace, mais seulement à court terme. En cas de sécheresse prolongée, les « méga-bassines » perdent leur efficacité. Avec le réchauffement climatique, les sécheresses vont être de plus en plus intenses, ce qui rend l’effet des « méga-bassines » limité. De plus, l’eau stockée dans ces réservoirs s’évapore rapidement, causant des pertes importantes.

Bémol sarcastique 😏 Solution un peu plus efficace 🤔
Les méga-bassines sont coûteuses, ont des effets négatifs sur l’environnement et ne seront pas suffisantes en cas de réchauffement plus important dans toutes les régions du monde. Les pratiques agricoles plus responsables, comme l’agroécologie, l’agroforesterie, les régimes alimentaires à base de plantes et les systèmes agricoles mixtes et diversifiés, sujet abordé par les scientifiques du Giec, sont considérées comme des solutions plus efficaces à long terme.

Magali Reghezza et Florence Habets, membres du Haut Conseil pour le climat et du CNRS, indiquent dans « Bon Pote » que les solutions techniques ne doivent être que des compléments à la réduction de notre consommation d’eau. Les scientifiques du Giec ont évalué que la réduction de notre consommation d’eau peut réduire les conflits.

Mais les partisans des « méga-bassines » des Deux-Sèvres continuent de croire en leur efficacité face aux pénuries d’eau. Ils défendent un modèle agricole familial et diversifié qu’ils estiment menacé par leur abandon. Cependant, la construction de ces réservoirs géants ne sera efficace que si l’eau est réellement disponible. Selon un rapport du Bureau de recherches géologiques et minières, la construction de 16 méga-bassines augmenterait de 5% à 6% le débit des cours d’eau l’été, contre une baisse de 1% l’hiver par rapport à 2000-2011. Mais cette modélisation ne tient pas compte de l’effet du changement climatique et des risques de sécheresses fréquentes.

Les scientifiques du Giec recommandent de protéger les réservoirs naturels d’eau douce, comme les nappes souterraines. Ils estiment également que les financements devraient aller vers les pratiques responsables en matière d’eau, notamment agricoles et industrielles.

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