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Manif interdite : quand les forces de l’ordre s’attaquent aux ambulances…

Un blessé ? Ah non, c’est trop compliqué…

Un enregistrement téléphonique établit que les forces de l’ordre ont empêché le Samu d’intervenir lors des affrontements à Sainte-Soline, lors d’une manifestation interdite contre les « méga bassines ». Les différentes associations disposent maintenant de preuve que le Samu 79 n’a pas pu se rendre sur le terrain. Le préfet des Deux-Sèvres a réagi en expliquant que les forces de l’ordre avaient pour mission de garantir la sécurité des personnels de secours, et si ces conditions n’étaient pas réunies, l’envoi d’ambulances n’était pas possible, afin de ne pas exposer ces personnels aux violences.

Le bilan lourd s’alourdit…

Deux manifestants sont encore dans le coma, dont un avec un pronostic vital engagé dont les parents ont porté plainte pour « tentative de meurtre ». Les organisateurs ont évoqué 200 blessés, dont 40 grièvement, et les autorités ont fait état de 47 gendarmes blessés. Voilà un bilan bien plus lourd que lors de la précédente manifestation contre les retenues d’eau dans les Deux-Sèvres, également interdite, en octobre dernier.

Un paysage d’horreur…

La manifestation interdite à Sainte-Soline s’est transformée en un véritable champ de bataille. Des manifestants, des forces de l’ordre et des observateurs de la Ligue des droits de l’Homme ont été dépêchés sur les lieux. La situation était si violente que le Samu a été interdit d’intervenir, même pour prendre en charge un blessé dans une zone « parfaitement calme », où rien ne faisait « obstacle à l’intervention du Samu ».

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