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« Pour le CCNE, le consentement des patientes c’est surfait »

Examens gynécologiques : le consentement explicite devient une nécessité selon le CCNE

Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) publie un avis dans lequel il insiste sur l’importance du consentement explicite des patientes lors des examens gynécologiques. Il affirme que l’accord ne doit plus être tacite ou présumé. Des précautions doivent être prises pour les patientes en situation particulière de vulnérabilité ou quand les élèves et les étudiants assistent aux examens.

Pour le CCNE, les examens touchant à l’intimité nécessitent une écoute et une prise en compte de la pudeur, du besoin d’intimité et de la douleur ou de l’inconfort de la patiente. Les professionnels doivent s’assurer du consentement répété et maintenu des patients.

L’avis, qui est l’œuvre d’un groupe de travail qui a auditionné plus de 30 personnes, vise à lutter contre les violences gynécologiques.

Les craintes du CCNE

Le Comité consultatif national d’éthique s’inquiète d’une dégradation de la confiance entre les soignants et les patients, craignant une perte de chance pour ces derniers en cas de refus des examens ou de renoncement à la consultation. Il redoute également une désaffection de certaines spécialités médicales « sous l’effet d’un opprobre collectif et d’atteintes ciblées sur les réseaux sociaux ».

Les antécédents des violences gynécologiques

Cette recommandation fait suite au signalement de plusieurs cas de violences gynécologiques et obstétricales en Europe. Des groupes de défense des droits affirment que les femmes se voient régulièrement refuser le consentement éclairé, sont soumises à des comportements dégradants par le personnel médical et, dans certains cas, à des pratiques dangereuses.

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