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« Quand la préfecture se prend pour un pompier pyromane à Sainte-Soline »

Sainte-Soline : quand la préfecture joue les pompiers pyromanes

Les forces de l’ordre n’ont pas empêché le Samu d’intervenir à Sainte-Soline lors du rassemblement contestataire. C’est en tout cas ce que prétend la préfète des Deux-Sèvres, Emmanuelle Dubée, dans une réaction cinglante à l’article « Sainte-Soline : l’enregistrement qui prouve que le Samu n’a pas eu le droit d’intervenir » du journal Le Monde.

La vérité, selon la préfecture, c’est que les conditions de sécurité n’étaient pas réunies pour que les secours puissent intervenir. Bien sûr, la Ligue des droits de l’homme confirme l’enregistrement d’un médecin et d’une avocate qui se voient refuser l’accès aux blessés par le Samu. Mais qui croire, franchement ? L’administration préfectorale ou une organisation de défense des droits de l’homme ?

Et puis, quelle importance ? Après tout, un médecin militaire a prodigué les premiers soins à un blessé, sous les projectiles. Et ça, Madame la préfète n’a pas manqué de le souligner. Si ce n’est pas un bel exemple de coordination entre les forces de l’ordre et les secours, on ne sait pas ce que c’est…

La sécurité avant tout

Bien sûr, la préfecture avait le souci de garantir la sécurité des personnels de secours. Et qu’il est difficile de travailler en « contexte hostile »… Dans ces conditions, il est légitime que les forces de l’ordre déterminent si l’arrivée d’un véhicule de secours est possible ou non. Et s’il y a un peu de casse, un blessé qui attend des soins en urgence absolue, c’est un risque acceptable, non ?

Arguments de la préfecture Arguments de la Ligue des droits de l’homme
Un médecin militaire a porté secours à un blessé Les appels téléphoniques montrent que le Samu a été empêché d’intervenir
Les conditions de sécurité n’étaient pas réunies pour que les secours interviennent Les témoins sur place accusent les forces de l’ordre d’avoir entravé l’accès aux blessés
Pas de preuves tangibles d’une « entrave aux secours » des manifestants Les affirmations de la préfecture sont contredites par les échanges enregistrés lors de l’appel au Samu

Pour éviter que les pompiers et le Samu ne soient pris à partie ou victimes collatérales des affrontements violents, les forces de l’ordre ont donc pu empêcher l’envoi d’une ambulance. Mais on n’imagine pas un instant que les autorités aient pris cette décision pour dissuader les manifestants de poursuivre leur action. Certainement pas. Ni pour leur compliquer la tâche de secourir les blessés, d’ailleurs…

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