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Israël : Nétanyahou tente de se faire élire juge suprême (et dictateur)

Israël : réforme judiciaire et pouvoir absolu

Benyamin Nétanyahou continue de faire parler de lui en Israël avec sa réforme judiciaire controversée, qui donnerait un pouvoir absolu à l’exécutif et mettrait un terme à toute séparation des pouvoirs dans le pays. Face à la contestation sans précédent, le Premier ministre a annoncé un report temporaire de sa réforme, mais les manifestants restent mobilisés.

La coalition menée par Nétanyahou, la plus à droite de l’histoire du pays, vise à mettre fin à l’indépendance de la juridiction. Cette réforme inquiète également l’opposition, qui redoute un élargissement de l’oppression aux juifs laïcs.

Le risque d’une concentration inédite des pouvoirs plane donc sur Israël, où la démocratie est menacée. Et ça ne plaît pas aux marchés financiers, qui sont de plus en plus exigeants sur les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance.

Un projet destiné à garantir la liberté de Nétanyahou

Cette réforme est avant tout personnelle pour le Premier ministre. Sous le coup de multiples poursuites pour corruption, il joue sa liberté, pas seulement sa carrière politique, sur cette réforme. Et tant pis pour les conséquences politiques et institutionnelles.

Une coalition d’extrême droite aux idées suprémacistes

Benyamin Nétanyahou s’est associé à des partis ultraorthodoxes et ultranationalistes pour revenir au pouvoir. Cette coalition a fait émerger une droite suprémaciste juive, ouvertement raciste, qui soutient les installations en Cisjordanie et a obtenu des postes au gouvernement. Un ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a même appelé à raser le village de Huwara, en Cisjordanie.

Des mesures qui réduiraient les libertés des minorités

Avec cette réforme, les partis au pouvoir pourraient modifier jusqu’aux lois qui protègent les libertés fondamentales, sans qu’on puisse les en empêcher. Et pour les ultraorthodoxes, les femmes n’ont pas vocation à avoir les mêmes droits que les hommes. Cette situation met en danger l’Etat de droit et les libertés individuelles des citoyens.

La réaction de la communauté internationale

Ces nouvelles attaques contre l’Etat de droit et les libertés individuelles ont alarmé la communauté internationale. Le président américain, Joe Biden, a déclaré que Israël ne peut pas continuer sur cette voie. Les marchés financiers sont également sensibles à cette réforme. L’économie du pays dépend largement des investissements étrangers et le shekel, la monnaie israélienne, a atteint son plus bas niveau en trois ans.

Un compromis difficile à atteindre

La réforme judiciaire sera à nouveau examinée lors de la prochaine session parlementaire. Mais un compromis semble difficile à atteindre, car les divisions sont profondes et la mobilisation populaire reste intense. Benyamin Nétanyahou joue la montre, en rampart face aux manifestants.

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