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L’herbicide S-métolachlore, le nouveau meilleur ami de l’environnement selon le ministre de l’Agriculture

Polémique autour d’un herbicide dont le nom est imprononçable

L’Agence française de sécurité sanitaire souhaite interdire les principaux usages d’un herbicide agricole, le S-métolachlore, qui se dégrade en métabolites que l’on retrouve dans les sols, les eaux de surface et les eaux souterraines.

Le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, voudrait que la France ne prenne pas de décisions hâtives en attendant que l’Union européenne l’interdise, afin de protéger la filière agricole. Rien de mieux que de polluer les sols et les eaux pour préserver nos intérêts !

Le débat en cours

Certains agriculteurs sont inquiets face à la possible interdiction de cet herbicide, qui est l’un des plus utilisés en France avec 1 946 tonnes écoulées chaque année. Les producteurs de blé et céréales, de maïs, d’oléagineux et protéagineux, de pommes de terre et les planteurs de betteraves se rangent du côté du ministre.

Cependant, Générations Futures, une ONG environnementale, soutient l’initiative de l’Anses. Quant au député socialiste Dominique Potier et à l’eurodéputé Pascal Canfin, ils dénoncent l’attitude du ministre de l’Agriculture.

Des conséquences néfastes sur l’environnement et la santé publique ?

Les métabolites du S-métolachlore détectés dans les eaux destinées à la consommation humaine et l’annonce de l’Anses de retirer les principaux usages de produits phytopharmaceutiques à base de S-métolachlore suscitent des craintes quant aux conséquences sur l’environnement et la santé publique. Mais visiblement, le Ministre s’en balance !

Les arguments du ministre

Marc Fesneau se sert de la souveraineté alimentaire comme argument justifiant sa décision de réhabiliter l’herbicide. Il trouve peu crédible l’absence d’alternatives crédibles tandis que l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), depuis huit ans, réévalue l’autorisation du S-métolachlore classé comme substance cancérigène suspectée. Le ministre estime que l’Anses se précipite et qu’elle nuit ainsi à la filière agricole française. Ouf ! On est rassuré !

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