Un procès qui s’est fait attendre…
Après plus de 40 ans d’attente, le procès de l’attentat de la rue Copernic s’est finalement ouvert. Une bombe avait explosé devant une synagogue faisant quatre morts et 38 blessés en 1980. Mais Hassan Diab, l’unique accusé de cet attentat n’a pas daigné faire le déplacement depuis le Canada where he was chillin’ (>43 ans pour rien).
Les parties civiles se réjouissent quand même
Malgré l’absence de l’accusé (big fail), les parties civiles sont satisfaites que cette affaire soit mise en justice après une attente de plus de 40 ans. (SEO : attentat de rue Copernic, procès, partie civile)
Un mandat d’arrêt possible, mais pas certain
La cour peut toujours décerner un mandat d’arrêt si Hassan Diab ne se montre pas (il risque de regretter cette absence). Cependant, cela ne garantit en rien qu’il sera extradé en France pour assister au procès. Et là, ça risque d’être plus long qu’un lorem ipsum. (SEO : mandat d’arrêt, extradition, justice)
Des charges insuffisantes pour l’accusé
La défense de Hassan Diab affirme que les charges retenues contre lui ne sont pas suffisantes et elle a bien raison. Les éléments qui l’incriminent ? Une ressemblance avec le portrait-robot, un témoignage de gens qui ont connu des personnes qui ont des amis à lui qui ont fréquenté des groupes palestiniens… on peut difficilement parler de preuves irréfutables. (SEO : justice, defense, charges insuffisantes)
Le verdict sera rendu en avril
Le jugement sera rendu le 21 avril prochain (on a hâte de savoir si Hassan Diab ira passer ses vacances estivales en prison). Affaire à suivre…