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L’héroïne, le nouveau produit vedette des campagnes !

De l’héroïne à la campagne, le fléau que les autorités n’arrivent pas à stopper

Vous pensiez que l’héroïne était un problème de la ville ? Eh bien, détrompez-vous ! Dans certaines contrées rurales, comme la Somme ou la Meuse, la consommation de cette drogue est un vrai fléau, difficile à éradiquer.

Une drogue facilement accessible

La drogue ne s’achète pas qu’en ville. Dans le petit village de Roisel, dans l’est de la Somme, la coke est aussi présente que les champs de colza qui l’entourent. Selon Benjamin, un consommateur, « De l’héroïne, on arrive toujours à s’en procurer » à un prix défiant toute concurrence : 15€ le gramme. Et pour ceux qui voudraient des tarifs encore plus avantageux, direction la Belgique, dont la frontière est à deux heures de route, merveilleusement surnommée « autoroute de la drogue ».

Des campagnes touchées par la précarité

La drogue est souvent plus attractive quand on a un quotidien difficile. C’est le cas dans cette région, où plus d’un jeune sur deux est sans emploi. Cette pauvreté et cette désesperance ont transformé un coin de nature en plaque tournante du trafic de drogue. Les consommateurs sont nombreux et se connaissent tous, créant une pression pour continuer à acheter et consommer.

Les autorités démunies

Face à l’ampleur de la situation, les autorités peinent à agir. Les centres de soin, dont certains ferment les uns après les autres, ne sont pas adaptés aux contraintes des campagnes. Les consommateurs-vendeurs utilisent des micro-réseaux difficiles à repérer et profitent de l’anonymat que leur offre les réseaux sociaux. Si les saisies d’héroïne ont augmenté de 100% en un an dans la zone d’Abbeville, les dealers, eux, continuent de prospérer.

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