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Les entreprises enfin prêtes à admettre que les humains ont besoin de temps libre !

Les entreprises choisissent de passer à la semaine de 4 jours

Enfin, les patrons ont compris que les employés n’ont pas envie de bosser tous les jours de la semaine, et que les week-ends de trois jours sont plus appréciés. Selon une enquête menée au Royaume-Uni, les entreprises qui ont adopté cette semaine ont vu une baisse du nombre de burnouts, de départs de salariés et d’arrêts pour maladie. De plus, 56 des 61 entreprises britanniques qui ont testé la semaine de 4 jours souhaitent continuer. Cependant, pour passer à cette semaine de travail plus réduite, une adaptation de l’organisation est nécessaire.

Des journées plus denses, mais pas plus stressantes

A l’agence de communication Orignal à Lorient, les employés ont d’abord choisi chacun leur jour de repos dans la semaine, mais cela n’a pas fonctionné. Finalement, deux jours fixes de présence ont été instaurés. Au fil des semaines, les employés ont noté des pertes d’informations lors des transmissions des dossiers. Ils ont adapté leurs procédures en conséquence, comme le fait de faire des points écrits plutôt qu’oraux. La semaine de 4 jours a permis une augmentation du chiffre d’affaires sans que l’on puisse réellement établir un lien avec l’organisation, et les salariés sont satisfaits.

Un véritable changement de culture

A la Sellerie Voltair de Bidart, il a été instauré la semaine 4-100-100 : quatre jours de travail, pour 100% du salaire et 100% des résultats. Le but est d’identifier les pertes de temps plutôt que d’aller plus vite. Les réunions ont été réduites et raccourcies, et un ordre du jour clair est établi pour chaque rencontre. Les salariés ont dû changer leurs habitudes, comme le fait d’envoyer un message à un collègue plutôt que d’aller le voir directement. Cette nouvelle semaine permet aux salariés de se sentir plus valorisés et donne envie de donner plus dans leur travail.

L’objectif n’est pas de faire des plus longues journées, mais de travailler mieux

Au sein de l’éditeur de logiciels SharingCloud à Boulogne-Billancourt, chaque salarié a choisi un jour d’absence, soit le mercredi, soit le vendredi, pour assurer une continuité de service. Les réunions ont été supprimées ces jours-là, et une attention particulière est apportée à la qualité des communications écrites pour mieux intégrer les employés. La semaine de travail a été réduite pour atteindre 180 jours travaillés par an, avec le même salaire. La direction est attentive au feedback des salariés et au risque de stress psychologique.

Les salariés travaillent mieux, pas plus

A la menuiserie Senave à Roncq, les salariés travaillent toujours 35 heures par semaine, mais réparties sur quatre journées au lieu de cinq. Les journées sont un peu plus longues, mais les employés sont tellement contents de ne travailler que quatre jours par semaine que cela ne pose pas de problème. Le patron doute cependant que réduire le temps de travail soit possible dans leur secteur d’activité, où il y a une tâche à faire du début à la fin avec le même rythme tout au long de la journée.

Le changement de rythme rend heureux

Chez le fabricant de porte-bébés Love Radius à Toulon, les salariés travaillent cinq jours par semaine de septembre à avril et quatre jours de mai à août. Cette méthode, mise en place depuis 2017, permet de passer plus de temps dehors pendant les beaux jours. Les salariés peuvent travailler un peu plus tard si besoin, mais sont tellement heureux d’avoir leur vendredi libre qu’ils sont plus concentrés et plus performants. Le patron constate une nette amélioration du bien-être dans l’entreprise.

Une entreprise qui mise sur l’autonomie des salariés et la réduction du temps de travail :

Love Radius, entreprise gérée par Olivier Sales, mise sur l’autonomie des salariés qui s’organisent en fonction de leur charge de travail. L’objectif est remis à jour si besoin. Olivier Sales préconise une asymétrie bénéfique aux salariés. Une réduction mineure de temps de travail offre beaucoup pour la vie privée des personnes. Les salariés apprécient ainsi de consacrer davantage de temps aux tâches de fond ou à la formation.

Une expérience mal vécue :

À l’Urssaf Picardie, 40 employés sont intéressés par la semaine de quatre jours proposée par la direction et les syndicats, mais seulement quatre obtiennent gain de cause. Pour les salariés qui ont opté pour cette expérience, les journées de neuf heures sont très longues sans véritable latitude sur l’heure d’arrivée et de départ. Les quatre salariés ont tout de même choisi cette option pour profiter du repos supplémentaire. Dans l’ensemble, la satisfaction est mitigée.

Mots-clés : entreprise, autonomie, réduction du temps de travail, expérience mal vécue, semaine de quatre jours

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