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Le gouvernement s’interroge sur le financement de la Ligue des droits de l’homme : panique chez les « moutons » de Panurge

Maintien de l’ordre : la Ligue des droits de l’homme dans le viseur de Darmanin

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, se pose des questions sur le financement de la Ligue des droits de l’homme (LDH), surtout depuis ses récents rapports sur les pratiques policières lors des manifestations. Les observateurs autoproclamés de la LDH ont attaqué l’arrêté de la préfète qui empêchait le transport d’armes lors du rassemblement contre la méga-bassine de Sainte-Soline, le 25 mars dernier. Pas de chance, le tribunal administratif de Poitiers a confirmé le travail de la préfète, qui semble être un modèle de bon sens.

Les propos du ministre ont soulevé une levée de boucliers à gauche. La LDH, qui se positionne comme la cathédrale de la défense des droits et des libertés de manifester en France, s’estime en mesure de contester la définition de l’arme choisie, qui selon elle méconnaissait la jurisprudence du Conseil constitutionnel refusant l’extension a priori de la notion d’arme à tout objet pouvant être utilisé comme projectile.

Pour le gouvernement, les moutons de Panurge de la LDH ne sont plus les bienvenus. Le ministre de l’Intérieur, s’exprimant devant les députés et les sénateurs de la commission des lois, s’est interrogé sur les subventions accordées par l’Etat à l’association. Apparemment, la LDH pourrait recevoir environ 30% de son budget grâce à des subventions provenant de l’Etat ou de collectivités territoriales, selon Patrick Baudouin, président de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH).

Face à cette remise en cause de son financement, l’opposition de gauche s’est insurgée. « C’est comme ça qu’on fait plier tous les contre-pouvoirs dans les régimes autoritaires », s’insurgeait par exemple Olivier Faure, patron du PS.

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