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Les Brav-M, des anges gardiens du maintien de l’ordre ? Pas si sûr…

Maintien de l’ordre: Des motards trop violents ?

Les Brigades de répression de l’action violente motorisées, récemment sous le feu des critiques, ont été créées pour contrer les mouvements des gilets jaunes en 2019. Les policiers circulant en binômes à moto sont devenus la force de dernier recours pour les manifestations difficiles. Cependant, la question de leur utilité se pose de plus en plus, malgré les défenseurs tels que Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, qui qualifie leur travail est indispensable.

Motards contre CRS et Gendarmes

Les Brav-M exercent leurs fonctions avec une grande autonomie, au contraire des CRS et des gendarmes mobiles, qui ont leurs chaînes de commandement hiérarchisées. Cela mène parfois à des tiraillements entre unités sur le terrain, rendant le maintien de l’ordre plus compliqué qu’il ne devrait l’être.

Recrutement problématique ?

La police du maintien de l’ordre a connu des moments de crise de personnel, après des décennies de réduction budgétaire. Ainsi, des profils jugés problématiques ont été recrutés, tels que des adeptes de la violence. Les chercheurs estiment qu’il faudrait améliorer les recrutements et la formation initiale et continue en école de police.

Débordements stratégiques ?

Entre des unités sur le terrain qui ont des comportements parfois excessifs et des manifestants en colère, la situation peut facilement dégénérer. Alors, au lieu de réprimer la foule de façon indistincte, proposer une stratégie de tolérance de quelques débordements pourrait être bénéfique. Cela permettrait de ne plus considérer les manifestants comme une masse hostile, au risque de forger une haine durable de la population contre sa police. 

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