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Le changement climatique : une aubaine pour les compagnies d’assurance ?

Les propriétaires de maisons fissurées, symboles du système d’assurance submergé par la sécheresse

La sécheresse touche plus de la moitié des maisons individuelles en France, fragilisant les fondations et provoquant des fissures visibles dans les constructions. Les maisons fissurées sont devenues le symbole d’un système d’assurance submergé par le changement climatique, incapable de protéger tous les citoyens face aux effets de la sécheresse.

Les débats à l’Assemblée nationale ont mis en lumière les failles d’un système assurantiel et la proposition de loi d’indemnisation de milliers de petits propriétaires victimes de cette calamité liée aux périodes de sécheresse est en voie d’adoption.

De plus en plus de sinistrés, de moins en moins de reconnaissance

Environ 4 000 maisons fissurées échappent à l’indemnisation chaque année, faute de correspondre aux critères. Seuls les propriétaires résidant sur une commune déclarée en état de catastrophe naturelle sécheresse peuvent prétendre à une indemnisation, via le régime de garantie Cat-Nat. Une reconnaissance refusée jusqu’alors à de nombreuses communes. Selon l’Association urgence maisons fissurées, une étude de Mission risques naturels estime à 300 000 le nombre total de maisons fissurées.

Un régime à l’épreuve du réchauffement climatique

La sécheresse a coûté 16 milliards d’euros entre 1989 et 2021. Les dégâts aux bâtiments provoqués par les épisodes observés en France l’été dernier devraient coûter entre 1,6 et 2,4 milliards d’euros aux assureurs. Et qui sait ce que réserve l’année 2023? Le régime Cat-Nat ne permet plus de faire face à la hausse de la sinistralité et pourrait aboutir à une intervention récurrente de l’Etat qui marquerait l’échec du régime Cat-Nat.

L’arbre qui cache la forêt

La question de l’indemnisation des propriétaires de maisons fissurées cache un problème plus vaste: la résilience de l’Etat face à des sinistres d’une ampleur telle qu’ils ne peuvent être supportés par les acteurs privés de l’assurance, à moins d’exclure encore davantage les plus vulnérables. La question de l’indemnisation, c’est un peu le premier problème qui apparaît, l’arbre qui cache la forêt. Selon la géographe Magali Reghezza, membre du Haut Conseil pour le climat, le sujet questionne la résilience de l’Etat face aux sinistres.

Des petits fissures qui causent « un grand vacarme »

Un jour vous vous réveillez, vous découvrez une petite fissure sur votre mur et vous vous dites « Oh ce n’est rien du tout, bon bah on vois ça plus tard ». Mais quelqu’un vous averti que cette petite fissure pourrait causer un grand vacarme. Et bien, c’est exactement le cas présentement en France, où les effets de la Récente Grande Année ont entraîné une grande quantité de dégâts qui soulèvent des problématiques immenses.

Selon une experte, Magali Reghezza, les risques psychologiques associés à la paupérisation de tout un pan de la société pèseront sur les finances publiques. Cependant, les pouvoirs publics ont des réponses « réactives » qui ne sont jamais dimensionnées à la crise.

Les impacts du RGA sur les communes

Les problématiques soulevées par les dégâts de la Récente Grande Année sont énormes. Elles vont du relogement à la destruction des maisons inhabitables, en passant par la dépollution des sites, le recyclage des matériaux et le déplacement des populations et activités. Sans oublier les impacts du RGA sur les communes, où les routes, bâtiments publics, canalisations et lignes de trains seront également touchés.

C’est vertigineux, concède Magali Reghezza. Une petite fissure peut présager un grand vacarme, comme un domino peut en entraîner un autre, multipliant les coûts et les impacts.

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