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« Erdogan déjà réélu ? Les abstentionnistes s’en foutent complètement »

Opposition turque : faut-il mobiliser les abstentionnistes ?

À quelques jours du second tour de la présidentielle en Turquie, l’opposition cherche à mobiliser les électeurs indécis qui n’ont pas voté au premier tour. Selon les estimations, plus de huit millions de personnes ne se sont pas rendues aux urnes, espérant peut-être la victoire de l’opposition. Mais on peut comprendre leur désarroi : si les sondages donnaient l’opposition perdante, pourquoi se donner la peine de voter ?

Qui sont les réserves de voix possibles pour l’opposition ?

L’opposition a ciblé trois groupes électoraux qui pourraient lui donner la victoire : les abstentionnistes, les électeurs de Sinan Ogan et ceux du parti ultranationaliste Iyi.

Groupes Electoraux Potentiel de voix Stratégie de l’opposition Opinion des électeurs
Abstentionnistes 8 millions Mobiliser au moins 1 ou 2 millions d’électeurs de l’opposition qui n’ont pas voté au premier tour Plutôt favorable à l’opposition, mais certains craignent le triomphalisme d’Erdogan
Electeurs de Sinan Ogan 2,8 millions Durcir le discours et s’en prendre durement aux réfugiés syriens pour les séduire Prêts à voter pour l’opposition, surtout pour refuser la réélection d’Erdogan
Electeurs de Iyi 20% de l’électorat du parti Convaincre les électeurs de Iyi, membre de l’alliance d’opposition mais qui n’ont pas voté pour Kiliçdaroglu Peu près à voter pour Kiliçdaroglu, mais ont voté pour Sinan Ogan par défaut

Personne n’a encore gagné, ni perdu l’élection

Malgré la victoire de Recep Tayyip Erdogan au premier tour de la présidentielle en Turquie, l’opposition ne baisse pas les bras. Selon les représentants locaux du CHP et de Bon parti, l’opposition peut rattraper les 5 points qui les sépare du président sortant. Mais tout dépendra de la mobilisation de l’électorat, des abstentionnistes aux électeurs potentiels de l’opposition. Et même s’ils parviennent à convaincre ces derniers de se rendre aux urnes, il faudra encore convaincre les électeurs du premier tour de voter pour l’opposition. Un pari risqué, mais qui peut rapporter gros.

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